Rien ne semble arrêter le succès de La Grande traite culturelle
C’est fou comment la popularité de La Grande traite culturelle des Gosseux, conteux et patenteux est grandissante. Sur trois jours de tout partout on vient, pour une activité unique dans les Laurentides.
Rien à envier aux activités de Mont-Tremblant. À chaque édition, La Grande traite se développe, rabonnit comme un vin de Moselle. C’est surtout pour l’accueil des artisans que les participants viennent au rendez-vous de ce qui est devenu la plus importante activité culturelle de la vallée de la Rouge.Il faut dire que la journée du 28 juillet a été la plus courue. La météo était de mèche avec les organisateurs. Si quelqu’un avait besoin d’une preuve tangible pour mesurer l’affluence sur le terrain, un coup d’œil vif sur la rue principale permettait de constater qu’il n’y avait plus de stationnements, des centaines de mètres autour du parc de la gare. Rappelons que l’an dernier, plus de 4 000 visiteurs ont mis les pieds sur le terrain où se tient La Grande traite culturelle.D’autres nouveautés à venirÀ la tête de l’organisation de cette manifestation culturelle, on a vite compris que la nouveauté annuelle est de mise. L’un des cofondateurs de l’événement, Sylvain Généreux, l’avait confié il y a environ une dizaine d’années au journal. «On améliore les façons de faire cette année, la logistique comme je disais, et tout», avance cette fois celui qui est aussi cofondateur du regroupement Les Gardiens du patrimoine archéologique des Hautes-Laurentides.Bien sûr, il y avait plus de diversité chez les artisans. À l’habitué de la Grande traite, le forgeron Sylvain Rondeau, s’ajoutent plusieurs kiosques à saveur historique, qui ont toujours la cote: la savonnerie, les vins, la fabrication de chandelles, de ceintures fléchées, de meubles, sculptures sur bois (même à la scie à chaîne), l’artisanat (surtout dans la gare), etc. Sylvain Généreux et Roland Tremblay sont toujours là pour démontrer le savoir-faire ancestral pour allumer un feu. C’est l’activité la plus populaire.Il faut s’attendre à d’autres nouveautés l’an prochain, ajoute Sylvain Généreux et justement, L’Information du Nord a profité de l’occasion pour présenter Raymond Roy, président de l’Association des trappeurs Laurentides/Labelle. Qui sait pour l’an prochain ?
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