Nids-de-poule, ornières ou aménagement douteux, CAA-Québec lance sa septième campagne « Les pires routes du Québec ». Les usagers de la route peuvent voter jusqu’au 26 mai après quoi l’organisme publiera son légendaire palmarès des 10 pires routes de la province et s’engage à faire un suivi auprès des autorités responsables. « La campagne Les pires routes est une opportunité en or pour la population de réitérer l’importance qu’elle accorde au réseau routier, épine dorsale de notre société, et d’exprimer sa préoccupation par rapport au mauvais état de nos routes québécoises », indique Sophie Gagnon, vice-présidente, Affaires publiques et sécurité routière chez CAA-Québec.
Pour bien des gens, « pire route » rime inévitablement avec « nids-de-poule ». D’autres désagréments visibles peuvent témoigner de l’état de dégradation d’une route, souligne CAA, comme les ornières, les crevasses, un marquage déficient ou un éclairage inadéquat ou inexistant.