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La natation gagne en popularité à Mont-Laurier

Publié le 1 octobre 2021 par Kathleen Godmer

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Kathleen Godmer

Journaliste | kgodmer@inmedias.ca

La Ville de Mont-Laurier a fait savoir début septembre que l’engouement était si grand du côté des inscriptions aux cours de natation de la piscine municipale, qu’elle a dû faire l’ajout de sept groupes. Seules les personnes déjà inscrites sur les listes d'attente ont pu bénéficier des 64 nouvelles places.

Les personnes dont le nom était sur une liste d’attente ont été contactées par la Ville afin d’être informées des places disponibles. Celles qui démontraient toujours de l’intérêt à y participer ont pu directement procéder au paiement afin de confirmer leur inscription. (Photo Pixabay)

« Suite à la période d’inscriptions qui a débuté le 30 août dernier, on a rapidement constaté que toutes les places s’étaient comblées très vite. En fait, ça a pris, pour les cours pour enfants, environ huit minutes après l’ouverture des inscriptions et tout était plein », a confié Audrey-Anne Richer, directrice des Loisirs à la Ville.

Afin de permettre à un plus grand nombre de citoyens de participer aux activités de natation, la Ville a modifié l’horaire et réduit le temps de certaines activités de bain libre et de bain couloir. Ce changement a permis l’ajout de sept nouveaux groupes dans les catégories suivantes:

Tortue de mer
Loutre de mer
Junior 1
Junior 2
Junior 3.

Ces catégories ont été sélectionnées en fonction du nombre de personnes inscrites sur les listes d’attente.

« Le contexte de pandémie étant toujours présent, ça n’a rien simplifié au niveau de la capacité d’accueil. Par exemple, les autres années, on pouvait doubler le nombre de gens dans l’eau en planifiant, en même temps, un groupe de préscolaire dans la section la moins creuse de la piscine et un groupe préscolaire junior dans le plus creux. Là, comme la Santé publique exige de ne pas dépasser 25 personnes par plateau, on n’a plus cette possibilité. En tentant de respecter les plages horaires libres et les remplir le plus possible au niveau des cours, on a cherché comment on pouvait ajouter des places », a expliqué Mme Richer.

À titre d’exemple, la directrice a mentionné que pour réussir, la durée de certaines activités libres avait été réduite. Plutôt que d’avoir une période de bain libre d’une durée d’une heure trente, on a réduit ça à une heure pour libérer du temps pour de nouvelles plages horaires. « Pour faire le choix des cours à ouvrir, on s’est basé sur nos listes d’attentes selon les niveaux, car on ne pouvait pas ouvrir tous les cours une deuxième fois et c’est aussi pour ça que les nouvelles places à combler l’ont été avec les gens qui étaient en attente », a-t-elle ajouté.

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