Grâce à une nouvelle tour d’observation
La vue est imprenable en haut de la montagne du Diable
Le 21 septembre, le Parc régional Montagne du Diable (PRMD) annonçait qu’une nouvelle tour d’observation a été construite près du Relais de la Montagne. Une navette permettra aussi le transport de 11 passagers vers cet attrait.
Alors que cette tour de 21 mètres a été érigée au cours du printemps et de l’été, c’est lors de la semaine du 12 septembre que la construction fut complétée. Du haut de cette tour, il est possible d’observer, entre autres, le réservoir Baskatong, le lac Windigo, la vallée de la Lièvre et le Mont-Tremblant.
Pour favoriser l’accès vers le pôle du relais, le PRMD a aussi l’intention de mettre en place une navette, qui permettra de transporter 11 passagers à la fois. Selon Isabelle Legault, directrice générale du PRMD, cette navette est déjà arrivée au parc, mais elle n’est pas encore disponible. Le parc procède à l’installation de chenilles sur la navette, afin de permettre le transport vers le sommet même en hiver.
Isabelle Legault ajoute que cette navette a été commandée par le parc pour permettre notamment aux personnes qui n’ont pas la capacité de monter à pied jusqu’au relais d’y avoir tout de même accès.
Les projets de la tour et de la navette ont été financés à 90 % par Développement économique Canada (DEC), via le Fonds pour les expériences canadiennes pour un montant de 360 000 $. Le 10 % restant a été financé par les partenaires du PRMD, notamment la MRC d’Antoine-Labelle, la Municipalité de Ferme-Neuve et la Ville de Mont-Laurier. C’est donc 400 000 $ qui ont été utilisés pour la mise en place de ces deux projets.
Les acteurs du PRMD soulignent que ces deux projets permettront d’enrichir l’offre touristique dans la région et que la tour sera un attrait de choix pour les motoneigistes et les quadistes.
Ériger une tour au sommet, un défi
Isabelle Legault souligne notamment le fait que la nouvelle tour d’observation fait honneur à une ancienne tour d’observation pour les feux que l’on retrouvait dans les années 1930 au sommet de la montagne du Diable.
Isabelle Legault explique que monter les matériaux requis pour ériger la nouvelle tour d’observation n’a pas été une tâche simple. « Il fallait un chauffeur expérimenté pour monter avec la bétonnière. Le chemin pour se rendre au sommet reste difficile d’accès, même si nous travaillons fort pour l’améliorer. » Afin de monter les structures d’acier de la tour, le parc a eu recours à l’aide d’une débusqueuse pour aider les camions à monter.
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