Mont-Laurier
Le CPE les Vers à Choux souligne l’agrandissement de ses locaux
Le 20 juin, le Centre de la petite enfance (CPE) les Vers à Choux a organisé une rencontre pour souligner l’agrandissement de ses locaux. La députée Chantale Jeannotte était sur place et a coupé le ruban pour l’inauguration officielle. Léa Santo, du conseil des parents, a notamment pris la parole pour remercier le travail des employés et pour remercier les personnes présentes.

Alors que les travaux ont commencé en juillet 2021, ils ont pris fin en mai 2022. Ils ont permis un agrandissement à l’arrière du bâtiment sur deux étages. Au rez-de-chaussée, on retrouve une nouveauté pour ce CPE, soit une pouponnière. Louise Lanoue, directrice générale du CPE, explique que ce dernier peut accueillir 10 poupons. Deux éducatrices s’en occupent.
À l’étage, il y a eu un agrandissement de locaux déjà existants, ce qui permet l’ajout de deux places au sein du CPE. On retrouve cinq locaux à l’étage pour les enfants âgés entre 18 mois et 5 ans. On compte maintenant 72 enfants dans ce CPE. 22 éducatrices y travaillent, ainsi qu’une cuisinière, une secrétaire-comptable et un concierge.
Louise Lanoue croit que le CPE a maximisé l’espace. Elle souligne cependant l’enjeu des éducatrices, des ressources essentielles pour l’avenir. Elle explique aussi que les éducatrices ont une formation très professionnelle axée sur la pédagogie. « Nous voulons encourager les Québécois à aller dans ce domaine », souligne-t-elle.
De nouvelles activités
Dans la cour extérieure du CPE, on retrouve des bacs de jardinage. Il s’agit d’un projet d’été en concertation avec Cultiver pour nourrir. C’est Cindy Lebeau, de ce même organisme, qui fait des ateliers de jardinage avec les enfants. Chaque local possède son bac de jardinage. Il s’agit de la première année où il y a de nombreux légumes dans les bacs, même si le projet a débuté l’année dernière.
Louise Lanoue explique que la fin de la pandémie a permis d’offrir de nouvelles activités au CPE, comme les bacs à jardinage. Elle explique aussi que lors de la pandémie, la cour extérieure devait être séparée en trois, afin d’éviter le plus possible les contacts. Il s’agissait de règles édictées par la santé publique.
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