Simon Lefebvre sera une des têtes d’affiche

Publié le 28 janvier 2019 par Kathleen Godmer

Publié par

Kathleen Godmer

Journaliste | kgodmer@inmedias.ca

Pour la toute première fois, le Gala Aisudan sort du Casino de Montréal et c’est à l’Espace Théâtre de Mont-Laurier qu’il sera présenté le 29 janvier prochain. Lucian Bute et Jean-Yves Thériault seront présents en tant qu’invités d’honneur et plusieurs athlètes de la région combattront lors de l’événement: Renaud Young, Simon Lefebvre, Sébastien Langevin, Robert Gay, Lévy Ducharme, Bob Ducharme et Raphaël Brunet.

Simon Lefebvre sera une des têtes d’affiche

Champions mondiaux en combat démo, démonstration Flash Team, qualifications et beaucoup plus, sont au programme. De tout pour faire connaitre le monde du kickboxing et permettre aux gens qui seront présents de passer une soirée mémorable. Mentionnons que le Gala est au profit de la Société de la SLA du Québec (sclérose latérale amyotrophique). Curieux d’en savoir davantage, Le Courant s’est entretenu avec Simon Lefebvre, une des têtes d’affiche du Gala.Quelles sont les raisons qui t’ont poussé à participer à ce Gala?Moi, déjà en partant, me battre j’aime toujours ça. Le fait que ce soit ici, dans mon patelin et avec mon monde et mes amis, c’est encore plus le fun. On va pouvoir montrer aux gens ce qu’on est capable de faire. Beaucoup vont découvrir ce qu’est vraiment le kickboxing.»Qu’est-ce que ça fait de combattre chez soi?«C’est motivant. Il va y avoir plus de monde de notre région pour nous voir et nous encourager. Habituellement, on fait nos combats ailleurs et ça va être différent d’avoir notre monde pour nous soutenir. J’ai bien hâte.Comment est-ce qu’on se prépare en vue de ce Gala?De la même manière que d’habitude. C’est beaucoup d’entrainement, cinq jours par semaine généralement. C’est exigeant. Ça prend beaucoup de motivation. Par contre, cette fois-ci j’ai moins de travail à faire sur le plan de l’alimentation. Habituellement, quand il faut que je perde du poids, je dois suivre un plan strict, mais là, je me prends contre un adversaire qui est plus lourd que moi. Je n’ai pas besoin de gagner du poids, juste de me maintenir, c’est facile. C’est sûr qu’il faut quand même que je mange bien pour mon énergie. On va aussi une fois par semaine à Ottawa, chez Jean-Yves Thériault, pour aller mettre les gants avec d’autres personnes du club et travailler différents coups, différents styles de combats et mettre en pratique les techniques. quoi on peut s’attendre de Simon Lefebvre le 29 janvier?J’ai l’impression que ça va être un combat explosif. Je n’ai pas vu beaucoup le «fighter» à l’œuvre. Je ne connais pas vraiment Pokacic, mais à notre poids ça «claque», ça fait mal, ça fait du bruit, c’est impressionnant. Selon moi, ça devrait être un bon combat. C’est un combat officiel avec juges, mais cette fois, ça ne compte pas pour une ceinture, c’est plus pour le plaisir de combattre et peut-être que ça aura de l’influence pour les qualifications pour Aisudan. Je ne sais pas encore comment ça va fonctionner. Moi je me bats et je laisse les autres s’occuper du reste (rire).Après le Gala, qu’est-ce qui s’en vient pour toi?C’est certain que j’aimerais bien aller chercher la ceinture du tournoi. Les qualifications commencent cette année et ça va demander beaucoup de travail. La saison commence et je vais voir vers quoi ça s’en va et faire ce qu’il faut.Renaud Young (photo: gracieuseté – Karaté Urbain Mont-Laurier).Simon Lefebvre (photo: gracieuseté – Karaté Urbain Mont-Laurier).

Post Views: 66