La chronique de Frédéric Bérard
Le lendemain même du déclenchement des élections québécoises, Michel Langevin et moi parlons, à son micro, de l’attaque verbale abjecte dont a été victime la vice-première ministre fédérale, Chrystia Freeland, en Alberta. Incroyable que certains, aujourd’hui, se sentent autant légitimés d’agresser de la sorte, sans gêne ni vergogne, concluions-nous. Bravo ainsi et respect aux innombrables candidat.es ayant le courage, en cette ère des médias sociaux, de placarder leur face sur des poteaux. S’il est facile d’être cynique et critique de nos politiciens, reste que grâce à eux et elles, la démocratie survie. Pour l’instant. Pour l’instant? Oui. Parce que sans vouloir …