« Parce qu’on a le droit de choisir sa fin », dit Marie-Hélène Gaudreau
Le Bloc Québécois a déposé un important projet de loi le 22 mai à la Chambre des communes, dans le but de permettre aux personnes qui souffrent de maladies neurocognitives graves et incurables de déposer une demande anticipée d’aide médicale à mourir.