Le déclin de l’empire américain
Ces lignes sont écrites au moment où résonnent encore les coups de feu de la dernière tuerie de masse, sauce USA. L’effroi, l’appel aux traditionnelles prières et tutti quanti. Jusqu’à la prochaine. Parce que prochaine, il y aura. Demain, peut-être. Sinon le weekend prochain. Parce que la prière, justement, ne peut servir de bouclier suffisant à la bêtise humaine. Celle-ci, disait Camus, insiste toujours. Particulièrement au sud de la frontière.